Dans le silence de la nuit…
Non… le silence est en moi
La nuit est vacarme
Car le temps me suit
J’élargis l’espace que je traverse
Tu le dessines
Je l’encercle car tu l’effleures
La vie tisse sur mon corps modèle
Car tu le touches le serres l’écris
Sur mes yeux qui commencent sur ton regard
Le temps me suit mon amour
Car tu es devant moi
Tu vis entre ma peau et l’horizon
Tu es partout mais
Ainsi
Nulle part…
Denis FAÏCK
1 réponse
Belle poésie !
Une « zentitude » certaine dans l’expression de la tourmente.
Et « en même temps » le manque est omniprésent, qui tenaille !
N